Je veux qu’un homme me dise que je suis faible, qu’il rabaisse mon corps et me dise que je ferais une meilleure fille qu’un garçon. Je veux qu’il me reluque et fasse des remarques et des gestes inappropriés. Qu’il me tienne la porte ouverte et m’émascule de toutes les manières possibles. Je ne veux pas céder. Je veux me battre obstinément pour lui prouver qu’il a tort, même s’il admire ma bouche et attrape mes fesses. Je veux qu’il me défie. Qu’il lutte avec moi et me cloue au sol. Qu’il me fasse soumettre. Je veux qu’il exhibe son corps, qu’il porte des boxers serrés sans chemise pendant que je reste habillé, trop honteux pour exposer ma poitrine sans muscles et mes bras frêles. Je veux qu’il me taquine constamment, qu’il me dise ce qu’il veut faire avec moi, ce qu’il prévoit de me faire. Je veux qu’il me ligote, qu’il me mette dans des contraintes ou des équipements de bondage, puis qu’il commence à bouger son corps sur le mien. Qu’il frotte son entrejambe contre mes fesses, ma bouche, mon propre sexe pathétiquement petit. Je veux qu’il serre mon corps contre le sien, bien serré contre lui. Qu’il lace ses mains derrière ma tête et force ma bouche contre son entrejambe, ses testicules. Qu’il m’étouffe avec ses propres fesses. Qu’il me fasse respirer son odeur. La sueur. L’odeur musquée d’un homme. La légère odeur de pré-sperme. En souriant et en riant tout le temps. Me disant quelle petite fille je suis. Comment j’ai été fait pour ça. Rien de plus que pour plaire aux hommes, pour les satisfaire et les faire jouir. Me disant sans cesse que j’aime secrètement ça, que j’en ai envie, que je le veux tellement. Mais je suis dans un tel déni, je dois être forcé. Non-consentement, mais oh tellement consensuel. Je fais semblant de résister, je crie, et j’essaie faiblement de le repousser, de m’éloigner de lui. Il me maintient en place, commence à faire sa magie. La prochaine chose que je sais, il est dans ma bouche. Taquinant mes lèvres et ma langue avec le bout de son sexe, puis enfonçant plus profondément dans ma gorge. Je m’étouffe avec lui, et il se retire légèrement. Seulement pour pousser plus loin, tester mes limites, voir combien de lui-même il peut me faire prendre. Sa viande épaisse et veineuse glisse dans et hors de ma bouche béante. Mes yeux se remplissent de larmes. La bave coule sur mon menton. Il pompe sa taille, entrant et sortant, forçant mes lèvres à saisir sa viande dans un effort futile pour le ralentir. Plus de bave. Plus de larmes. Et maintenant, le goût subtil et salé du sperme. Il gémit, aimant comment ma bouche le rapproche si près. Aimant la sensation de ma langue sur sa viande. Nulle part où aller alors qu’il baise mon visage. Je ne devrais pas vouloir ça. Je devrais vouloir qu’il arrête. Mais ma faim est maintenant pleinement éveillée. J’aime être utilisé. J’aime être pris. Forcé. Il se retire brusquement, commence à se masturber, traînant le bout de son pénis contre mes lèvres, mes joues. Utilisant ma bave et mes larmes comme lubrifiant alors qu’il est si proche de jouir. Je crains qu’il ne décharge tout sur mon visage, me couvrant de son jet blanc et chaud. Mais il n’a pas encore fini. Il se dirige vers mon arrière, enlève mon bas, exposant mes fesses. Je ne suis pas prêt pour ça ! Mais ensuite, il s’agenouille derrière moi, écartant mes fesses avec ses doigts forts. Il se penche en avant, et je me penche en avant, me tortillant pour échapper à sa langue qui est soudainement en moi. Une vague de plaisir inattendu me submerge. Oh. Mon. Dieu. Je commence à baiser sa langue avec mes fesses, essayant de l’enfoncer plus profondément en moi. C’est un animal, grognant et gémissant alors qu’il pénètre mon arrière, me faisant le vouloir de plus en plus. « S’il te plaît…..arrête….. » je supplie, mais mon corps trahit mes mots, bougeant contre lui et souhaitant qu’il puisse aller plus profondément, d’une manière ou d’une autre plus profondément. Il y a un moyen. Il se retire de moi, revient à ma bouche et pousse son sexe entre mes lèvres. Je le suce vigoureusement, ma langue peignant sa viande dans une tentative maladroite de le mouiller autant que possible. « Bonne fille, » dit-il avec appréciation, puis se retire si soudainement de mes lèvres pincées qu’il y a un bruit de POP ! alors qu’il s’éloigne. Il revient à mon arrière, me met à quatre pattes, puis commence à pousser en moi. C’est trop ! Je me suis laissé emporter ! Je ne veux pas ça ! Que des mensonges. Alors qu’il s’enfonce plus profondément dans mon arrière, je ne veux que lui. Je veux plus de lui. Jusqu’aux couilles, et soudainement je l’appelle Papa. Le suppliant de me baiser. D’être brutal. De faire mal. Faire si bien mal. Il ne se retient pas. Me frappant les fesses, attrapant de grandes poignées de mes joues, parfois se couchant sur mon dos pour pouvoir mâcher mon oreille alors qu’il pousse de plus en plus fort, augmentant le tempo, prenant de la vitesse. Je tremble sous lui, mon propre sexe dur comme un roc. Il le trouve, commence à me masturber même s’il continue à me labourer. Nous crions tous les deux, gémissant, grognant. Et puis ça vient. Une explosion de l’intérieur qui fait immédiatement éclater ma propre décharge pathétique. Il continue à me baiser, même s’il devient plus flasque. Enfin, il se retire, me force à me coucher avant de me câliner. Papa ours me tenant contre lui comme la petite salope qu’il a fait de moi. Il joue avec mes tétons alors qu’il devient de plus en plus somnolent. Les frottant, les pinçant. Il prend mes petites couilles. Les serre, joue avec mon sexe. Je suis à lui maintenant. Tout à lui.
